jeudi 15 novembre 2012

Feuillet paroissial du 18 au 25 novembre 2012

Invitation pour les enfants et parents à préparer Noël





Bonjour! 

Les pratiques pour les activités de Noël (voir description plus bas) commenceront samedi le 17 novembre:  13h30 pour le conte animé et 14h30 pour la chorale.  Les enfants peuvent à une seule activité ou aux deux.  Les pratiques auront lieu au sous-sol du presbytère.

Merci!

Mélanie


J’invite tous les enfants de 5 ans et plus à participer à un conte de Noël animé racontant la naissance de Jésus. Les tâches suivantes seront réparties : décors, accessoires, narrateurs, acteurs et ambiance sonore. L’aide de quelques parents serait aussi grandement appréciée!  La présentation aura lieu dimanche le  16 décembre à 10h30.

Nous avons besoin de musique pour la messe du  24 décembre à 20hQuelques enfants qui ont déjà fait partie de la chorale ont manifesté leur intérêt pour chanter de nouveau cette année. Il faudrait un adulte pour les diriger. Des musiciens seront aussi les bienvenus pour accompagner les enfants ou interpréter des pièces pendant la messe.  Nous pourrons alterner les chants des enfants et les pièces instrumentales selon les gens qui proposeront de partager leur talent musical. 

 Les pratiques pour ces deux activités auront lieu au moment qui conviendra le mieux aux participants.  Si votre enfant est intéressé, veuillez me donner son nom, son âge, ainsi que ses disponibilités pour les pratiques (samedi am, samedi pm, dimanche am ou dimanche pm) par courriel sacrements.rigaud@live.ca
 ou par téléphone au 450-451-6392.



Participation aux messes

Si votre enfant souhaite accomplir une tâche (accueillir les gens, servir la messe, lire…) pendant les messes du samedi à 16h30 ou celle du 24 décembre à 20h,  communiquez avec moi afin de choisir les dates et les rôles.

 Au plaisir de vous revoir!

Mélanie


vendredi 2 novembre 2012

4 novembre 2012: L’évangile pour les enfants




Evangile : Marc 12,28-34



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 -Miroir, mon beau miroir, que dis-tu de moi ?
-T'es toi !
31
ème Dimanche du Temps Ordinaire – Année B

1ère Lecture : Deutéronome 6,2-6 
Psaume 118 
2ème Lecture : Hébreux 7,23-28  



 
Pour aller plus loin
Détails :

-Surprise ! Un miroir qui répond ! Ce lapin est tranquillement en train de se pomponner (noter la quantité de produits de beauté au dessus de la serviette) et son reflet lui demande d’aimer son prochain comme lui-même.
-Le peigne du lapin est tourné vers lui-même, tandis que le peigne du reflet est tourné vers l’autre.
-Le lapin est sur un tabouret pour se regarder ; pour pouvoir aimer l’autre comme soi, il faut déjà avoir fait un certain « travail » sur soi, pour pouvoir s’élever et se regarder comme à l’image de Dieu

-Questions

-Aimer l’autre comme soi-même, est-ce de l’égoïsme ? de l’orgueil ? Qu’est-ce que Jésus veut dire à travers cette phrase ?
-Est-ce que je peux aimer l’autre comme moi-même si je ne m’aime pas moi-même ?
-« Aimer Dieu de tout son cœur et aimer le prochain comme soi-même » pourquoi Jésus lie t’il ces deux commandements ?
-Puis-je aimer Dieu sans aimer mon prochain ?
-Puis-je aimer Dieu sans m’aimer moi-même ?

Là, tu as de quoi méditer pour 5 ans… (au moins !)






RÉFÉRENCES:




http://paroissefachesthumesnil.over-blog.com/article-meditations-bibliques-d-apres-l-evangile-de-marc-12-28-34-111803948.html


http://lapinbleu.over-blog.net/


http://www.famillechretienne.fr/celebrer/autres-temps-liturgiques/un-dessin-de-kieffer-pour-le-vingt-sixieme-dimanche-du-temps-ordinaire_t12_s84_d66888.html

4 novembre 2012: réflexion de l’évangile du dimanche







Le texte évangélique

Marc 12, 28-30

28 Après avoir entendu sa discussion avec les Sadducéens et reconnaissant qu’il leur avait bien répondu, un des spécialistes de la Bible s’approcha de Jésus pour l’interroger : « Parmi tous les commandements, quel est le plus important? » 29 Jésus lui donna cette réponse : « Voici le premier : Écoute Israël, le Seigneur notre Dieu est l’unique Seigneur, 30 et tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de tout ton être, de toute ton intelligence et de toute ta force. 31 Voici le deuxième : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n’y a pas d’autre commandement plus grand que ceux-là. » 32 Le spécialiste de la Bible reprend : « Très bien, maître, tu as eu raison de dire qu’Il est l’unique, et à part Lui il n’y a rien d’autre. 33 De plus, l’aimer de tout son cœur, de toute sa capacité de discernement et de toute sa force, et aimer le prochain comme soi-même, tout cela est plus grand que tous les sacrifices d’animaux et toutes les offrandes au temple. » 34 Alors, remarquant qu’il avait répondu sagement, Jésus lui dit : « Tu n’es pas loin du monde de Dieu. » Et plus personne n’osait l’interroger.


Le commentaire

Faire le ménage avec nos religions

Récemment, Mohamed Morsi, président récemment élu d’Égypte, a déclaré devant le scandale provoqué par un film dénigrant l’Islam (l’innocence des musulmans) : « La liberté des hommes s’arrête là où commence la loi de Dieu. » En d’autres mots, la religion et les lois religieuses ont une priorité sur tout ce qui est humain, incluant la liberté humaine. Qu’en pensez-vous? À l’opposé, j’ai le souvenir d’un oncle qui, voulant se disculper d’être un catholiques non pratiquant et connaissant mon intérêt pour la Bible, me disait : « Dans le fond, ce que la religion chrétienne nous demande, c’est de nous aimer les uns les autres, n’est-ce pas? » Selon vous, lequel de M. Morsi ou de mon oncle a raison? Et si c’était ni l’un ni l’autre… Laissez-moi expliquer en relisant avec vous l’évangile de ce jour.

Un scribe ou spécialiste de la Bible pose une question à Jésus sur le plus grand de tous ces commandements qu’on retrouve dans la Bible, dont certains évaluaient le nombre à 613, 248 consistant en des commandements positifs (« fais ») et 365 en des commandements négatifs (« ne fais pas »). Dans ce contexte, on comprend l’importance d’établir des priorités. Vous connaissez la réponse de Jésus qui se divise en deux parties : d’abord la reconnaissance que Dieu est unique et l’appel à l’aimer de tout son être, une reprise de la prière « Chéma Israël » qu’un Juif reprenait matin et soir, puis l’amour du prochain considéré comme un autre soi-même. Le scribe, retrouvant dans la réponse de Jésus des passages tirés de la Bible, s’empresse de l’appuyer avec d’autres passages. Jésus conclut qu’il a tout à fait raison, mais ajoute que s’il n’est pas loin du monde de Dieu, il n’y est pas tout à fait encore. Question : mais voyons, que manque-t-il à ce scribe qui est pourtant très bien?

Pour bien comprendre la réponse de Jésus, il faut d’abord se demander : pourquoi parle-t-il d’un premier commandement, puis d’un deuxième? Est-il en train d’établir un ordre de priorité, si bien que le premier passe avant le deuxième, et qu’en cas de conflit, le premier a préséance? Ce serait mal connaître l’ensemble de son message. Notons que Jésus ne parle pas d’abord d’amour de Dieu, mais d’unicité de Dieu : le Seigneur notre Dieu est l’unique Seigneur. Qu’est-ce que cela veut dire? Quand on dit d’une réalité qu’elle est unique, on affirme qu’il n’existe rien d’autre de comparable. Et dans le cas de Dieu, on doit admettre deux choses : puisqu’il n’y a aucune réalité dont nous faisons l’expérience qui se compare à lui, sa compréhension nous échappe, il demeure un mystère; de plus, Dieu étant par définition un absolu, il ne peut être que le seul absolu, tous les autres étant des idoles ou faux dieux : pouvoir, argent, autorité, plaisirs, honneur, gloire, lois, etc. Parmi les idoles ou les faux dieux, il faut même ajouter la religion, quand celle-ci prétend être un absolu alors qu’elle n’est qu’une expression socioculturelle d’une expérience religieuse sans doute authentique, mais avec toutes les limites des gens qui l’expriment à ce moment. Rappelez-vous que plus tôt dans la journée Jésus a fait le ménage au temple de Jérusalem. Accepter de vivre avec un absolu qui demeure un mystère, donc qu’on ne maîtrise pas vraiment et éliminer tous les faux absolus, est extrêmement difficile : parlez-en aux Hébreux marchant dans le désert sous la direction de Moïse et demandant d’avoir une religion agraire et de rendre un culte au veau d’or, un réalité qu’ils maîtriseraient mieux qu’un Dieu dont il ne pouvait dessiner le visage. Pourtant, c’est la condition essentielle pour entrer dans le monde de l’amour, l’amour de Dieu et l’amour des autres. Voilà pourquoi Jésus ne peut pas lancer son invitation à l’amour sans d’abord parler de l’unicité de Dieu. Laissez-moi expliciter davantage.

Vous connaissez le « Big Bang », du moins, vous en avez entendu parler. C’est la théorie la plus répandue dans le monde scientifique pour expliquer la naissance de l’univers, et surtout pour expliquer pourquoi les astres s’éloignent continuellement les uns des autres, comme propulsés à partir d’un même point, une explosion originelle. Dans le « Big Bang » il y a deux éléments essentiels : tout d’abord l’énergie centrale inouïe, puis l’espace ou le vide infini qui permet une expansion infinie. Si le « Big Bang » reflète quelque chose de Dieu, on ne sera pas surpris de constater qu’il peut servir d’analogie pour comprendre la réalité spirituelle de Dieu dans nos vies : tout part du centre de nous-mêmes, du plus profond de notre cœur. S. Paul écrit : « L'amour de Dieu a été répandu dans nos cœurs par le Saint Esprit qui nous fut donné. » (Rm 5,5) Par la suite, l’histoire humaine devient l’expansion de cet amour qui vient de Dieu même, à l’image de l’univers. Pour permettre cette expansion, il faut de l’espace, et donc la mort de tous les faux absolus; car ceux-ci mentent en disant : je vais étancher ta soif, je vais combler tes besoins, je vais enfin te permettre de t’assoir et te reposer. Cet amour est en expansion infinie tout comme l’univers, car elle vient de Dieu et ne peut être étanché que par Dieu lui-même. Voilà pourquoi « tu aimeras le Seigneur ton Dieu » est le premier commandement, il est l’origine et la fin de tout ce qui existe. Par contre, personne n’a vu Dieu, et donc on ne peut aimer concrètement une réalité qui nous échappe. La première lettre de Jean dit ceci : « Si quelqu'un dit: "J'aime Dieu" et qu'il déteste son frère, c'est un menteur: celui qui n'aime pas son frère, qu'il voit, ne saurait aimer le Dieu qu'il ne voit pas. » (1 Jn 4,20) En d’autres mots, l’amour de Dieu passe nécessairement par l’amour du prochain. Ainsi, amour de Dieu et amour du prochain sont indissociablement liés : la seule façon d’aimer Dieu c’est de commencer par aimer celui ou celle qui est à côté de moi. Plus précisément, chercher à découvrir les vrais besoins des gens et y travailler constitue le chemin vers Dieu. Penser plaire à Dieu en multipliant les gestes dit religieux est une immense illusion : « Aimer Dieu de tout son cœur, …aimer le prochain comme soi-même, tout cela est plus grand que tous les sacrifices d’animaux et toutes les offrandes au temple. » dit le scribe de l’évangile.

On comprend maintenant la réponse de Jésus. Une vie humaine, la mienne comme la vôtre, doit prendre conscience de tous les faux absolus de sa vie et les refuser comme absolus, et cela se fait en affirmant que l’Absolu est unique et n’est en rien comparable à tout ce que nous connaissons. Cela permet d’être attentif à ce qui gronde dans notre cœur, comme un immense volcan, un amour intense qui ne demande qu’à s’exprimer, comme le « Big Bang ». Cet amour a les dimensions de l’univers et ne pourra être rassasié que par l’infini de Dieu, car il a pour origine Dieu lui-même, mais il ne peut s’exprimer qu’à travers les êtres humains qu’il rencontre et dont il essaie de combler des besoins véritables.

En quoi le président égyptien Morsi, dont nous avons parlé au début, a-t-il tort? C’est d’imaginer une opposition entre les lois religieuses et les besoins humains : si les lois religieuses s’opposent aux besoins humains, elles sont alors des idoles ou des faux absolus, car les besoins humains véritables prennent leur source en Dieu même, et cela inclut la liberté. En quoi mon oncle, dont j’ai également parlé au tout début, a-t-il tort en disant que la religion chrétienne se résume à nous aimer les uns les autres? C’est de réduire la foi chrétienne en un ensemble de préceptes moraux à respecter. Mais, direz-vous, qu’il y a-t-il de mal à ces magnifiques principes moraux de l’amour. Le mal, ce sont les faux absolus des principes. L’amour n’est pas une question de principe, c’est l’abandon à ce qui jaillit du plus profond de notre cœur, un volcan dynamique dont la lave ne suit pas de chemins tracés d’avance, mais suit les méandres de la réalité changeante.

Dernière question : qu’est-ce qui manque au scribe ou spécialiste de la Bible dont Jésus apprécie la réflexion, selon s’écrit l’évangéliste Marc? Deux choses. La première, il n'a pas encore découvert que ce n’est pas d’abord l’être humain qui aime, mais c’est Dieu a pris l’initiative d’aimer en intervenant dans notre humanité, et que le commandement de l’amour qu’il nomme a un visage, celui de Jésus. La deuxième, l’amour qui s’épanouit va rencontrer la souffrance et la mort, et que cette mort ne contredit pas l’amour, mais l’ouvre sur une dimension infinie. C’est ce qu’a vécu Jésus.

Après avoir dit tout cela, qu’est-ce que je veux retenir de cet évangile de Marc? D’abord, m’émouvoir en prenant conscience que toute la vie de Jésus est l’expression de l’amour de Dieu, qu’il appelait « papa », et du prochain qu’il essayait sans cesse de remettre debout. Ensuite, ce qui a habité Jésus m’habite également. Mais cela amène la question : dans quelle mesure suis-je prêt à laisser libre court à cette formidable énergie amoureuse, et donc à faire le ménage avec toutes mes religions?



-Octobre 2012




En espagnol ici, DESDE MI BLOG PERSONAL






LE PLUS IMPORTANT

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Mc 12, 28-34
Un Scribe s'approche de Jésus. Il ne vient pas lui tendre un piège ni discuter avec lui. Sa vie est fondée sur des lois et sur des normes qui lui indiquent comment se comporter à chaque instant. Une question s'est éveillée cependant dans son cœur: Quel est le premier des commandements? Qu'est-ce que le plus important pour réussir sa vie?
Jésus comprend très bien ce que cet homme ressent. Lorsque dans la religion, on accumule des normes et des préceptes, des coutumes et des rites, on se disperse facilement sans savoir exactement ce qui est fondamental pour orienter sa vie d'une manière saine. C'est quelque chose de ce genre qui arrivait dans certains secteurs du judaïsme.
Jésus ne reprend pas les commandements de Moïse. Il lui rappelle simplement la prière que tous les deux ont récitée ce même matin au lever du soleil, en suivant la coutume juive: "Ecoute, Israël, le Seigneur notre Dieu est l'unique Seigneur; tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur".
Le Scribe pense à un Dieu qui a le pouvoir de commander. Jésus le place face à un Dieu dont il faut écouter la voix. Le plus important n'est pas de connaître des préceptes et de les accomplir. Ce qui est décisif c'est de s'arrêter pour écouter ce Dieu qui nous parle sans prononcer des paroles humaines.
Lorsque nous écoutons le Dieu véritable, un attrait vers l'amour s'éveille en nous. Ce n'est pas, à proprement parler, un ordre. C'est ce qui jaillit en nous lorsque nous nous ouvrons au Mystère ultime de la vie: "Tu aimeras". Dans cette expérience il n'y a pas d'intermédiaires religieux, pas de théologiens ni de moralistes. On n'a besoin de personne du dehors pour venir nous le dire. Nous savons que le plus important c'est d'aimer.
Cet amour envers Dieu n'est pas un sentiment ni une émotion. Aimer celui qui est la source et l'origine de la vie c'est vivre en aimant la vie, la création, les choses et, par dessus tout, les personnes. Jésus parle d'aimer "de tout son cœur, de toute son âme, de tout son être". Sans médiocrité ni calculs intéressés mais d'un cœur confiant et généreux.
Jésus ajoute quelque chose dont le scribe n'a pas parlé. Cet amour envers Dieu est inséparable de l'amour du prochain. On ne peut aimer Dieu qu'en aimant son frère. Autrement, l'amour envers Dieu est un mensonge. Comment pourrions-nous aimer le Père sans aimer ses fils et ses filles?
Nous ne faisons pas toujours attention à cette synthèse de Jésus. Nous avons fréquemment tendance à confondre l'amour de Dieu avec les pratiques religieuses et avec la ferveur, tout en ignorant l'amour pratique et solidaire envers ceux qui sont exclus par la société et oubliés par la religion. Mais, quelle vérité y-a-t-il dans notre amour envers Dieu si nous tournons le dos à ceux qui souffrent?

José Antonio Pagola
Traducteur: Carlos Orduna, csv

La messe expliquée aux enfants


 
Pourquoi se rassembler ?
Aujourd’hui, nous avons laissé tout ce qui nous occupait chez nous. Nous sommes rassemblé car nous avons rendez-vous. Nous avons rendez-vous avec Dieu. Nous sommes tous réunis avec Jésus pour reconnaître tout le bien que Dieu nous fait.
 
Signe de croix.
Avons-nous bien réfléchi au geste que nous venons de faire? Reprenons-le étape par étape:
Au nom du Père, la main sur le front.
Je voudrais écrire Dieu sur tout mes rêves.
Je voudrais marquer Dieu sur toutes mes idées.
Je voudrais que la main de Dieu soit sur toutes mes pensées.
 
Au nom du Fils, la main sur le coeur.
Je voudrais dire Dieu, je voudrais chanter Dieu avec tous les mots de mon amour.
Je voudrais planter Dieu dans tous les jardins de ma tendresse.
 
Au nom du Saint-Esprit,
la main qui fait la traversée et le voyage depuis une épaule jusqu’à l’autre épaule.
Je voudrais écrire Dieu sur tout moi-même.
Je voudrais m’habiller de Dieu de haut en bas et d’une épaule à l’autre.
 
Je voudrais que le grand vent de l’Esprit souffle d’une épaule à l’autre,
d’un bout du monde à l’autre jusqu’aux extrémités de la terre.”
                                     
Rite pénitentiel.
Tout au long de notre vie, Dieu nous montre qu’Il nous aime. Il fait alliance avec nous. Il nous appelle à l’aimer et à nous aimer les uns les autres. Si nous-nous tournons vers lui pour lui demander de nous pardonner tout le mal que nous avons fait pour regretter aussi de ne pas avoir fait plus de bien, alors les couleurs de l’arc-en-ciel illumineront notre coeur!
 
Gloire à Dieu
Le mot gloire veut dire “ce qui a du poids”. Avec cet hymne très ancien, nous chantons “ louange et gloire à Dieu”.Nous exprimons ainsi que Dieu est important pour nous.
 
Ecoute de la Parole.
Nous-nous asseyons pour écouter attentivement des lectures de la Bible. Elles nous racontent l’histoire de Dieu avec les hommes. Elles nous guident pour notre vie.

Psaume.
Le psaume est une prière chantée qui se trouve dans la Bible. Jésus à prié Dieu avec les psaumes.
 
Se tenir debout
Nous sommes une assemblée de personnes que Dieu relève, que Dieu met debout, un peuple de ressuscités. Etre debout, c’est être vivant. En écoutant la Parole debout, nous accueillons Jésus Christ vivant pour toujours. L’Evangile c’est Jésus vivant parmi nous.
 
Signe de croix. (Sur le front, les lèvres, le coeur)
C’est pour graver l’Evangile dans notre esprit, pour l’annoncer autour de nous, et pour le vivre de tout notre coeur.
 
Le livre
En élevant le Livre des Evangiles, le prêtre nous dit: “Voilà la Parole de Dieu qui nous est transmise par les chrétiens qui ont vécu avant nous!” Et nous reconnaissons Jésus vivant qui s’adresse à nous aujourd’hui.
 
Profession de foi
Nous venons d’entendre la parole de Dieu. Debout, nous disons avec tous les chrétiens, d’une seule voix, notre foi en affirmant bien haut: “je crois!”
 
Prière universelle.
Cette prière est universelle parce que nous prions Dieu pour tous les hommes et femmes de la terre. Nous ne voulons pas rester fermés sur nous même: nous ouvrons nos coeurs à la vie des hommes.
 
 
Offrir/s’offrir.
Dieu ne nous demande pas de lui sacrifier des animaux, comme on le faisait autrefois. Il ne nous demande pas non plus de mourir sur une croix comme Jésus l’a fait. Il nous demande de lui offrir notre vie de tous les jours, comme un beau cadeau. En apportant du pain et une coupe de vin, des lumières et des fleurs mais aussi nos bonheurs et même nos malheurs de chaque jours, c’est dire “merci” à Dieu pour la vie qu’Il nous donne.
 
Et avec votre Esprit.
Cela veut dire: “Et avec vous aussi!”. Dans certains pays, nous aurions dit: “Il est au milieu de nous!”
 
Adoration.
Le prêtre lève l’hostie puis la coupe pour que nous puissions voir et adorer respectueusement le corps et le sang du Christ et après seulement nous incliner devant la grandeur de son Amour.
 
Notre Père
Par sa vie, Jésus nous a montré que Dieu est proche de nous, comme un Père qui nous aime. Il nous apprend à le prier en l’appelant “Père”.

La Paix.
Puisque Dieu est notre Père, nous sommes tous frères et soeurs en Jésus Christ. Nous nous serrons la main ou nous nous embrassons pour nous transmettre la Paix qui vient de Jésus, le Christ.
  
 
Communion.
Voici ce que disait St Cyrille (4° siècle):
“Lorsque tu t’avances, ne t’approche pas les mains grandes ouvertes ni les doigts écartés,
fais un trône pour ta main qui va recevoir le Roi.
Reçois le corps du Christ dans le creux de ta main et réponds: AMEN”
 
 
Action de grâce.
C’est une prière de reconnaissance et de remerciement à Dieu. Dans le pain que nous avons partagé, c’est Dieu lui-même qui se donne par Jésus, le Christ ressuscité. Il fait de nous des hommes nouveaux avec un coeur nouveau.
Jésus Christ,
tu offres ton amour à tous et tu regardes chacun avec les yeux du coeur.
Je te prie. (Silence)
je voudrais savoir aimer comme toi tu aimes.”
 
 Bénir.
 Le prêtre trace sur nous une large croix avec sa main. Par cette bénédiction, Dieu nous enveloppe de sa force et de son amour avant de nous envoyer témoigner de la résurrection de Jésus Christ.
 
                     “  allez dans la Paix et la joie du Christ ! ”
 
Et après?
 On ne peut pas toujours rester entre chrétiens. Il faut se séparer pour aller vivre avec les autres. Le peuple rassemblé à la messe est une graine du peuple de Dieu qui va germer dans le monde.

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