La réponse dépend d'abord de l'attitude des parents.
Si les parents ne vivent pas en chrétiens sur le plan de la prière, de la foi ou de la vie quotidienne, il vaudrait mieux ne pas obliger les enfants à venir à l'église, ni même d'ailleurs à les faire baptiser.
Pour qu'un sacrement soit valide, il faut en effet qu'il soit vécu librement, de manière heureuse pour tous.
Sinon la contrainte sera vécue de manière négative par les enfants, le dégoût des rituels religieux chrétiens apparaissant, la plupart du temps, une fois arrivés à l'âge adulte.
En revanche, dans les familles pratiquantes dans tous les sens du mot (pratique de la prière, de la formation de la foi, de la justice et de la charité), il faut rester ferme.
Pour les enfants qui sont à l'école primaire et qui vont au catéchisme, il faut être ferme.
Pour les adolescents, les parents doivent exprimer leur conviction qui est un point de repère, mais rester également fermes. Tant que leur enfant n'a pas 18 ans ou qu'il loge à la maison, il est normal que l'enfant soit interpelé sur cette question. Mais si l'enfant demeure rétif, c'est qu'il y a un problème que seule une oblifgation ne peut régler. Il faut en trouver la cause.
Si les parents vivent de manière équilibrée leur foi chrétienne, si les enfants vivent leur foi au moins dans deux autres lieux que la famille (école et scoutisme catholiques par exemple), la pratique devrait se vivre de manière naturelle et sans problème.
Si les parents ne vivent pas en chrétiens sur le plan de la prière, de la foi ou de la vie quotidienne, il vaudrait mieux ne pas obliger les enfants à venir à l'église, ni même d'ailleurs à les faire baptiser.
Pour qu'un sacrement soit valide, il faut en effet qu'il soit vécu librement, de manière heureuse pour tous.
Sinon la contrainte sera vécue de manière négative par les enfants, le dégoût des rituels religieux chrétiens apparaissant, la plupart du temps, une fois arrivés à l'âge adulte.
En revanche, dans les familles pratiquantes dans tous les sens du mot (pratique de la prière, de la formation de la foi, de la justice et de la charité), il faut rester ferme.
Pour les enfants qui sont à l'école primaire et qui vont au catéchisme, il faut être ferme.
Pour les adolescents, les parents doivent exprimer leur conviction qui est un point de repère, mais rester également fermes. Tant que leur enfant n'a pas 18 ans ou qu'il loge à la maison, il est normal que l'enfant soit interpelé sur cette question. Mais si l'enfant demeure rétif, c'est qu'il y a un problème que seule une oblifgation ne peut régler. Il faut en trouver la cause.
Si les parents vivent de manière équilibrée leur foi chrétienne, si les enfants vivent leur foi au moins dans deux autres lieux que la famille (école et scoutisme catholiques par exemple), la pratique devrait se vivre de manière naturelle et sans problème.
L'idéal est que l'on aille à la messe en famille et que le dimanche soit plus ou moins festif, selon le degré liturgique du jour du Seigneur (le dimanche de carême n'est pas un dimanche de Pâques). Emmener des enfants là où il y a d'autres enfants semble également important.
Tout est une question de logique de vie et d'exemple donnés par les parents à leurs enfants.
Une fois posés ces repères, les choses ne sont pas toujours aussi simples. Il est possible, par exemple, que l'un des deux parents ne soient pas catholique pratiquant. Là, il faudrait écrire un autre article.... Le plus simple serait de demander conseil à un prêtre.
Tout est une question de logique de vie et d'exemple donnés par les parents à leurs enfants.
Une fois posés ces repères, les choses ne sont pas toujours aussi simples. Il est possible, par exemple, que l'un des deux parents ne soient pas catholique pratiquant. Là, il faudrait écrire un autre article.... Le plus simple serait de demander conseil à un prêtre.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Vos comentaires et impresions sont les bienvenues! Merci